
Résumé éditeur
Ils étaient quatre, trois filles et un garçon : Dolorès, Zineb, Bianca et Hannibal. Quatre meilleurs amis devenus comme frère et sœurs, ayant grandi ensemble, connu les joies de l’enfance et les tourments des premiers sentiments, se jurant de ne jamais se séparer. La vie s’ouvrait à eux ; le lycée terminé, ils quitteraient leur village du Sud, découvriraient Paris. Mais le soir du bal de fin d’année, Hannibal disparaît et laisse celles qu’il appelait mes douces, seules et interdites.
Huit ans plus tard, son corps est retrouvé, enterré dans la propriété d’Auguste Meyer, sculpteur célèbre de la région et professeur de poterie des quatre enfants qui, jusqu’à sa mort, a nourri pour Dolorès, sa beauté, une étrange fascination. L’Officier Casez est chargé d’enquêter, il convoque les trois jeunes femmes ; l’une est devenue célèbre sur les réseaux sociaux, l’autre étudiante, la dernière travaille dans un cinéma. Elles ne se parlent plus mais continuent de recevoir d’énigmatiques emails signés Hannibal. L’une le croit vivant, les autres pas.
A mesure qu’il essaie de percer le mystère de leur amitié, Léo Casez bute sur les interrogations : quel pacte les liait ? Qui était vraiment Auguste Meyer et pourquoi la mère de Dolorès le protégeait-elle ? En rouvrant les archives du passé, il force les secrets et nous entraîne dans les souvenirs de cet été brûlant, les joies et les tourments de quatre adolescents devenus si tôt adultes.
Un premier roman haletant, envoûtant comme un tour de magie.
Mon avis
Le résumé de ce livre donnait l’impression qu’on allait assister à une enquête policière à la suite d’une disparition d’Hannibal. Son corps est retrouvé quelques années après sa disparition et Léo Casez, l’enquêteur principal, va alors suivre les personnages entourant Hannibal à l’époque de sa disparition pour déterminer qui l’a tué.
En parallèle, l’auteure nous amène à connaître par nous-même les personnages, alternant les époques, les personnages tout au long des différents chapitres. J’ai eu du mal à m’accrocher à un ou plusieurs personnages. Quand on commence à s’intéresser à une histoire de l’une des 3 filles en particulier, l’auteure change très vite de sujet pour évoquer une autre fille ou un autre personnage. Ça va un peu dans tous les sens et j’ai eu beaucoup de mal à suivre. Le rythme du roman n’est pas très dynamique non plus, ce qui fait qu’on a des scènes pour lesquelles on ne voit pas trop d’intérêt. J’ai très vite été lassée. J’aurais aimé que l’auteure nous donne des éléments pour avoir envie de poursuivre la lecture.
En bref, je suis passée complètement à côté de ce roman.
Éditions : Grasset
Nombre de pages : 400
Genre : Littérature générale
Publication : 12 mai 2021
Pour en savoir plus
Page éditeur : Les douces, de Judith Da Costa Rosa | Éditions Grasset
Page Instagram de l’auteure : Judith Da Costa Rosa (@dacostaroz) • Photos et vidéos Instagram
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