Note : 3/5
Pages : 307
Éditions : Ring
Publication en France : 13 octobre 2016
Ma critique :
Je tiens à remercier dans un premier temps les éditions Ring et Babelio pour l’envoi de ce livre, reçu dans le cadre de l’opération Masse critique.
C’est le deuxième tome que je lis de cette collection. Pour resituer un peu, des journalistes se sont donnés pour but de publier tous les 6 mois un recueil de faits divers. A chaque fois, un thème est abordé. Le premier thème parlait des prototypes de meurtres, c’est-à-dire les premiers à avoir utilisé une certaine méthode de crimes. Je l’avais apprécié. Vous pouvez retrouver ma critique ICI. Ce mois-ci, le thème abordé est : sexe et passions fatales : Les crimes racontés sont les suivants :
- Frédéric Ploquin – Meurtre à la faculté
- Stéphane Bourgoin – Le boucher de Hanovre
- Dominique Rizet – La maîtresse et le médecin de campagne
- Frédérique Lantieri – Le gourou incestueux
- Michel Mary – Catwoman
- Luc Frémiot – L’ange et le démon
- Arnaud Bédat – L’affaire Stern
- Anne-Sophie Martin – Le dernier rendez-vous galant
- Géraldine Woessner – Les séquestrées de Cleveland
Pour en venir à mon avis, il faut tout d’abord que je dise quelques mots sur mon attrait pour ce genre d’histoire. J’ai eu une période où je ne ratais aucune émission de faits divers et toutes les histoires revenant en boucle, j’ai pris beaucoup de recul. Ayant apprécié le premier, j’ai cherché à continuer car j’avais aimé l’ambiance et la façon de raconter qui me semble tout à fait approprié. Ici, avec ce tome, j’ai été déçue pour plusieurs raisons :
- Je connaissais déjà 3 histoires sur les 9.
- Les journalistes ont beaucoup cherché à entrer dans les détails les plus horribles, ce qui ne m’a pas aidé à apprécier la lecture.
- Les histoires sont assez inégales : pas toutes très intéressantes.
Je reconnais toutefois que Frédérique Lantieri choisit bien ses histoires : elle a le don pour aller nous raconter des histoires qui sortent de l’ordinaire et pour les deux tomes, j’ai été conquise.
Une petite déception donc, mais qui ne m’a pas empêché de lire ce livre en une après-midi.