Note : 5/5
Pages : 341
Édition : Pocket
Première publication : 2006
Ma critique :
Un peu de légèreté ne fait pas de mal, me disais-je en empruntant ce livre à la bibliothèque. J’ai maintenant envie de lire l’intégrale de Agnès Abécassis, tellement j’ai ri et tellement j’ai ressenti toute la tristesse du personnage central.
J’avais déjà lu « chouette une ride » et j’avais beaucoup aimé aussi. L’auteure réussit à nous raconter une histoire somme toute banale : une femme divorce de son mari volage. Seulement, là où dans d’autres roman on s’ennuie ferme parce qu’il ne se passe rien, avec ce livre, on rit à propos de pleins d’anecdotes différentes. On se surprend même à se reconnaître dans certaines situations.
D’ailleurs, j’ai fait lire quelques passages à mon homme pour lui prouver que non, je ne suis pas complétement tordue !
4ème de couverture :
Empotée, complexée, un seul homme au compteur et incapable de tuer un cafard sans vomir son petit déjeuner : depuis son divorce, le quotidien de Déborah n’est pas facile-facile.
Car en retrouvant sa liberté, cette femme au foyer soumise et assistée a découvert une vie de chef de famille, de femme active et d’objet sexuel qu’elle avait ignorée jusqu’ici.
Dès lors les péripéties vont s’enchaîner Déborah devra apprendre à se déshabiller devant un autre homme que son mari, résister à un patron harceleur, tout en s’occupant de ses deux enfants sans faillir.
Mais comment reconstruire une vie de famille quand les hommes que l’on rencontre sont plus pitoyables les uns que les autres?
Entre crises de rire avec les copines et crises de boulimie larmoyantes, Déborah va devoir faire l’apprentissage de sa nouvelle indépendance…
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